Samedi à Davos, les joueurs de Fribourg-Gottéron, contrairement à leur entraîneur Hans Kossmann, ont refusé de répondre aux questions de «La Liberté» à l’issue de la rencontre. © Keystone/DR
Samedi soir à l’issue de la sévère défaite de Fribourg-Gottéron à Davos (8-2), les joueurs fribourgeois ont refusé de répondre aux questions de «La Liberté». La raison? Un article paru la veille et qui ne leur a visblement pas plu. Nous vous proposons de (re)lire cet article sur notre site.
Samedi à Davos, les joueurs de Fribourg-Gottéron, contrairement à leur entraîneur Hans Kossmann, ont refusé de répondre aux questions de «La Liberté» à l’issue de la rencontre. Interpellé sur la situation, le capitaine des Dragons Beni Plüss n’a pas voulu expliquer les raisons précises de cette décision d’équipe. «Non, désolé, non, je ne peux pas», a-t-il juste dit avant de s’engouffrer dans le vestiaire.
Ce refus est la conséquence de l’article «Le soufflé est retombé à Gottéron», (à lire en cliquant ici) paru vendredi dans «La Liberté», un article qui soulevait plusieurs inquiétudes avant le début de la nouvelle saison. «Que faut-il réellement attendre de Fribourg-Gottéron durant cette saison 2014/15?» s'interrogeait «La Liberté» dans une analyse construite autour de cinq thèmes: l'équipe, les gardiens, l'attaque, la défense et l'entraîneur.
Son contenu n’a visiblement pas plu aux joueurs qui ont décidé de boycotter les interviews. Cela avec le soutien de la direction du club. Contacté dimanche, le directeur général Raphaël Berger n’a pas souhaité s’exprimer. «On en reparlera la semaine prochaine», s’est-il contenté de répondre par SMS.