Philippe Furrer, qu’est-ce qui a changé en 24 heures, entre le non-match à Ambri et la performance convaincante face à Rapperswil?
Il y avait beaucoup d’envie, d’énergie, et surtout du plaisir. Je crois que c’est ça le plus important: nous avons agi en équipe et nous avons démontré que nous sommes capables de faire des belles choses lorsque nous y mettons tout notre cœur comme samedi soir.
Ce succès est important pour la suite de la saison…
Nous avons posé les fondations. Je suis convaincu que nous pouvons réaliser des choses extraordinaires si nous parvenons à tirer profit de la force de notre groupe. Tout n’a pas été parfait contre Rapperswil, mais c’est un point de départ dans la direction où nous voulons aller.
Qu’avez-vous pensé de Christian Dubé pour ses débuts en tant que coach?
J’ai connu Christian comme joueur, et maintenant aussi comme coach. Il nous a transmis sa passion, sa volonté de gagner, son feu intérieur. Exactement comme lorsqu’il était encore joueur. Il a fait un super boulot au vu des circonstances et si l’on sait qu’il n’a jamais été entraîneur.
De quel genre d’entraîneur Gottéron a-t-il besoin à l’avenir pour aligner les bonnes performances?
Ce n’est pas à moi de commenter ce genre de choses, il s’agit de décisions que le management doit prendre. L’important est d’avoir quelqu’un qui est capable de tirer le maximum de chacun dans l’équipe. Le potentiel de ce groupe est immense, j’en suis convaincu, et doit être pleinement exploité.
Cyrill Pasche