"Sous un maillot qui se porte avec fierté, si tu le portes; il faudra le mouiller !" Fan's Club Fribourg Gottéron

29 février 2016

Un match de suspension et une amende contre Vauclair



Tristan Vauclair sera suspendu pour la 1ère rencontre des play-offs de ce jeudi 3 mars à Genève.

Tristan Vauclair est suspendu pour un match et écope d’une amende de CHF 700.00  suite à la bagarre avec P. Berger, joueur du CP Berne, à la 30e minute du match du 27 Février.

Genève – Fribourg : Genoway préféré à Réway



Gerd Zenhäusern alignera sans surprise Colby Genoway pour donner un peu de poids à son équipe pour le premier acte face à Genève, alors que Martin Réway.

Et d’ajouter dans La Liberté «Je ne suis pas mécontent de tomber contre cet adversaire- là. Il n’y a pas de secret entre eux et nous. C’est la constance, la capacité à commettre un minimum d’erreurs, les gardiens et les situations spéciales qui feront la différence. Ça va donner une belle série.». Et la réponse physique démontrée face à Berne ne sera pas de trop.

27 février 2016

Gottéron n'est pas encore en mode playoffs




Fribourg-Gottéron n’était pas assez armé pour espérer renverser Genève-Servette. Privés de plusieurs titulaires, les Dragons se sont inclinés 5-1 aux Vernets. Pourtant, ce sont eux qui avaient ouvert le score grâce à Gardner en début de match.

Mais ensuite, un problème de glace est survenu alors qu’il restait un peu moins de 9 minutes à jouer dans le premier tiers. Les 2 équipes ont été renvoyées aux vestiaires et la partie n’a pu reprendre qu’une heure plus tard.

Pris à froid, les Fribourgeois ne sont jamais parvenus à trouver un rythme dans cette partie. A une journée de la fin de la saison régulière, Gottéron ne connaît toujours pas le nom de son adversaire en 1/4 de finale des playoffs.

26 février 2016

Loichat débutera son championnat avec Gottéron ce soir




Près d’une année après sa commotion contractée sous le maillot du CP Berne, Michael Loichat pourra enfin défendre ses nouvelles couleurs dans le championnat de ligue A puisqu’il fera son grand retour ce soir face à Genève.

La liberté confirme également d’autres nouvelles des blessés annoncées hier :  Camperchioli, Schilt et Plüss ne seront pas en uniforme mais les deux derniers joueront demain contre Berne. Martin Réway remplacera Pouliot entre Mauldin et Mottet. Ellerby et Picard seront les autres étrangers alignés, Genoway sera donc en tribunes alors que Lory sera comme prévu devant la cage.

Rappel des règles en cas d’égalité de points




Rathgeb : encore quelques saisons en Suisse avant la NHL




La Liberté dresse un joli portrait dans son édition du jour de celui qui sera rapidement devenu le défenseur le plus en vue de Fribourg-Gottéron et qui suscite bien évidemment un fort intérêt ici et ailleurs.

On apprend notamment que  Yannick Rathgeb avait choisi de signer à Fribourg pour une raison bien particulière, entre autre,  selon son oncle et conseiller Noël Guyaz : «Si Yannick a choisi Fribourg, c’est aussi pour apprendre le français, une langue qui pourrait lui être utile en cas de départ pour la NHL.». Un départ qui n’est pas pour tout de suite même s’il plusieurs dépisteurs viennent souvent le voir à l’oeuvre : «Idéalement, il faudrait que Yannick dispute encore trois ou quatre solides saisons de ligue A et qu’il s’affirme comme un élément clé de l’équipe de Suisse avant de faire le saut outre-Atlantique» explique Guyaz en tentant la comparaison avec Mark Streit parti à 28 ans.

Le chemin est encore long mais le potentiel bien-là, reste à savoir si cette progression se fera sous le maillot fribourgeois, lui qui a encore une année à son contrat, alors que Dubé et Zenhäusern lui ont déjà fait passer un gros palier depuis son arrivée.

25 février 2016

Réway fera son retour au jeu demain, Pluess et Schilt samedi



Radio Friboug confirme que Martin Réway retrouvera l’action demain contre Genève, alors que Pluess et Schilt le feront samedi face à Berne.

Fribourg-Gottéron: cœurs de bénévoles


Le hockey, c’est l’opium des Suisses. Les patinoires, leur temple. Les gladiateurs de la glace, des dieux vivants. Mais dans l'ombre des stars, une foule d'anonymes donnent leur temps pour presque rien. Par amour du sport et du spectacle. Rencontre avec les petites mains de Fribourg-Gottéron.

Contrôle des billets avant l’accès aux tribunes.
Pierre-Yves Masso


Ils sont les petits rouages d’une grosse machine. Dans les couloirs en béton de la patinoire de Fribourg, ils vous surveillent, vous contrôlent, vous indiquent votre place dans les gradins souvent surchargés, vous guident sur le parking…

Quand le coup d’envoi approche, les 130 bénévoles du Hockey Club Fribourg-Gottéron (HCFG) s’agitent en coulisse. Au bord de la glace, Jean-Roger Gilot, 60 ans dont 25 de bénévolat, ouvre deux grandes portes coulissantes. L’énorme tête de dragon s’avance dans l’arène, les joueurs s’y engouffrent. Le show peut commencer.

La tête de dragon attend de faire son entrée sur la glace, avant le coup d’envoi.
Pierre-Yves Massot


Une rencontre de hockey, c’est une heure de jeu mais cinq heures de travail pour les bénévoles. Avant le coup d’envoi, ils fument, bavardent, refont le dernier match. «C’est comme une deuxième famille», confie Loïc Cogné, 29 ans, qui garde l’une des entrées de la patinoire située dans la banlieue de Fribourg.

Une famille qui se réunit chaque semaine, au rythme des matchs de l’élite du hockey suisse. A la fin de la partie, tous reviennent au vestiaire, déposent leur veste jaune et touchent une compensation de 30 francs versée par le club pour couvrir les éventuels frais de déplacement. Une somme qui permet d’arrondir certaines fins de mois.

Certains bénévoles ont la chance de travailler au bord de la patinoire, au plus près de l’action.
Pierre-Yves Massot


«On vit l’ambiance et les émotions en même temps que les spectateurs», se réjouit Patricia Rossier, petite main depuis trois ans. Comme elle, beaucoup de «vestes jaunes» soutenaient les «Dragons» dans les tribunes avant de donner un coup de main.

Loïc Cogné, lui, a sauté le pas il y a dix ans: «En tant que bénévole, on crée un lien avec le public, on connaît les habitués, on est là en cas de problème.» La BCF Arena, antre du HCFG, affiche un taux de remplissage de près de 100%, soit 6’700 personnes par match.



«Une deuxième famille»

Jean-Roger Gilot, surveillant en bord de patinoire

S’il existait un musée consacré à l’histoire de Gottéron, Jean-Roger Gilot pourrait en être le conservateur. En 25 ans de bénévolat, ce sexagénaire a accumulé des dizaines de souvenirs aux couleurs du club sur les étagères de son appartement, situé dans un petit immeuble gris de Villars-sur-Glâne, à deux pas de Fribourg. Comme cette veste en jean couverte d’écussons brodés par sa femme ou la grande cloche qui arbore le dragon-mascotte du club, posée non loin de la cage où piaillent un petit groupe de perruches.

Recruté au début des années 1990, il est fier d’avoir côtoyé l’une des légendes du club, le russe Slava Bykov. Aujourd’hui, Jean-Roger Gilot est toujours là et continue de serrer la main de son idole – désormais membre de l’équipe dirigeante – quand celui-ci passe le voir à la «porte du dragon». Au chômage depuis cinq ans, Jean-Roger a trouvé chez les «vestes jaunes» plus qu’un passe-temps: une «deuxième famille».






Contrôle des spectateurs aux abords de la tribune visiteurs.
Pierre-Yves Massot


A chaque match, la patinoire de Fribourg affiche presque complet.
Pierre-Yves Massot


«Donner quelque chose», voilà la motivation des petites mains du club. Si ces derniers se félicitent de l’ambiance détendue de la patinoire, le grabuge n’est jamais loin. En témoigne les jets de bière qui atterrissent régulièrement sur la veste de Jean-Roger Gilot, ou les relents de gaz lacrymogène qui, une fois, ont provoqué quelques malaises dans la tribune de Patricia Rossier.

Comme le rappelle cette dernière, «on a une responsabilité envers les spectateurs». En cas de problème sérieux, une équipe d’une dizaine de vigiles professionnels – les «vestes noires» – se tient prête à intervenir. Eux seuls ont le droit d’expulser les spectateurs les plus excités.


«Faut faire plaisir aux autres»

 Michael Lehner, photographe officiel du club

Debout derrière le Plexiglas qui borde la glace, muni de son dossard «presse» et de son appareil, Michael Lehner, 37 ans, ressemble à tous les autres photographes sportifs. Sauf qu’il ne gagne pas sa vie en immortalisant les hockeyeurs. Quand il faut «payer le loyer et la nourriture», il repose l’appareil et travaille comme agent de sécurité.

Ce bénévole sans veste jaune ne touche pas de compensation financière pour ses clichés. Dans sa maison du quartier du Schoenberg, sur les hauteurs de Fribourg, de l’autre côté de la Sarine, Michael Lehner explique d’un ton calme que le hockey, comme la photo, ne sont que de «simples passions» qui prennent beaucoup de place dans sa vie.

Pour lui, c’est déjà une victoire d’être devenu le photographe officiel de son club de cœur: «Je croyais que c’était réservé aux professionnels.»






A l’intérieur de la tête de dragon qui, avant chaque match, recrache les joueurs du HCFG sur la glace.
Pierre-Yves Massot


Les bénévoles qui travaillent sur les parkings se préparent à affronter le froid.
Pierre-Yves Masso


Pour pénétrer sur la glace, les hockeyeurs traversent ce couloir rougeoyant. Nous sommes à l’intérieur de la tête de dragon. Avoir accès à ces coulisses est souvent considéré comme un privilège par les bénévoles.

«C’est toujours un plaisir de serrer la main des joueurs qui passent par là, confie Jean-Roger Gilot. On peut échanger quelques mots, savoir comment ils vont.» Après avoir connu cette «autre vision du hockey, impossible de revenir dans les tribunes», certifie Loïc Cogné.

Tous les bénévoles ne travaillent pas dans la patinoire. Quelques «vestes jaunes» sont chargées d’orienter les voitures sur les parkings… Pour eux, le travail commence et termine plus tôt.

Ces horaires décalés leur permettent d’aller regarder la fin du match depuis le bord de la patinoire, à côté des photographes et des caméras de télévision. «Notre récompense, après être restés debout dans le froid plusieurs heures.»


«On oublie tout le reste»

Patricia Rossier, placeuse et surveillante en tribune

Dans les travées de la patinoire, on reconnaît Patricia Rossier au cœur rouge brodé au dos de sa veste en jean. «Dans ma jeunesse, on allait voir Gottéron à l’ancienne patinoire des Augustins, un lieu mythique», raconte-t-elle. Cette secrétaire avait 12 ans quand elle a découvert les Dragons. Près de quarante ans plus tard, son amour pour le club est intact.

«Je m’embêtais, les soirées d’hiver à la maison, devant la télévision, à regarder toujours les mêmes séries vieilles de quinze ans…» Comme souvent, le bouche-à-oreille a fonctionné: «J’ai appris qu’ils cherchaient du monde à Gottéron, alors je me suis dit pourquoi pas moi!»

Comme les autres «vestes jaunes», Patricia Rossier s’est vite intégrée. «Ici, à Fribourg, tout le monde se connaît, lâche-t-elle entre deux cigarettes. Quand je croise un supporter ou un bénévole dans un bar ou un restaurant, on peut parler une heure, deux heures, parfois toute une soirée!»





Duel entre Fribourg et Lugano. 
Pierre-Yves Massot



Pause cigarette entre deux tiers-temps. C’est à ce moment que l’activité des bénévoles est la plus intense. Pierre-Yves Massot


Pas facile de rester neutre quand on est une «veste jaune» qui assiste au match aux premières loges. Jean-Roger Gilot concède que, parfois, il lâcherait «bien un juron quand Gottéron joue mal». Quant à Patricia Rossier, elle confesse volontiers son «chauvinisme». Tous affirment cependant rester «pro» aux yeux du public.


«Qu’ils perdent ou qu’ils gagnent, on sera là»

Loïc Cogné, contrôleur d’un accès à la patinoire

Les murs de son appartement de Marly, près de Fribourg, sont couverts d’écussons d’équipes différentes. Loïc Cogné, 29 ans, raconte avec un débit de mitraillette avoir été fan de foot avant de découvrir le hockey à l’âge de quinze ans, «de fil en aiguille, à force d’en parler avec des amis». La suite est plutôt classique: «Je connaissais quelqu’un qui bossait à Gottéron, qui m’a proposé de venir, et je n’ai jamais arrêté.»

Aujourd’hui encore, en voyant ce public chanter, même dans la défaite, Loïc a toujours le «frisson». Chaque année, il est aussi bénévole dans une dizaine de festivals. Presque un deuxième métier pour cet employé d’une usine de conditionnement, à tel point qu’il a fini l’année 2014 en burn out… 

«Mais je ne regrette pas, ce sont des moments où l’on quitte la vie habituelle.»





Interview d’après match. Dans les coulisses de la patinoire, bénévoles et joueurs se croisent régulièrement. 
Pierre-Yves Massot


Augustin, le dragon mascotte du club, nommé ainsi en l’honneur de l’ancienne patinoire du HCFG, 
chauffe la foule avant le coup d’envoi.
Pierre-Yves Massot


Les dernières recrues du club sont souvent présentes aux banquets de fin d’année du HCFG. L’occasion pour les bénévoles de faire leur connaissance. Dirigeants, joueurs, «vestes jaunes», «on est tous à la même table, les riches comme les pauvres, les célébrités comme les anonymes», relève Patricia Rossier.

Comme l’explique Jean-Roger Gillot, un peu ému: «Ça fait chaud au cœur de voir les supporters, les dirigeants compter sur nous et nous respecter pour notre travail.»

Cette reconnaissance est souvent considérée comme la première des récompenses. A choisir, Patricia Rossier préfère d’ailleurs ne pas être payée pour épauler son club de cœur, car «on perdrait ce lien avec le public». Michael Lehner, lui, préfère «presque que ça reste un hobby», même s’il ne refuserait pas une petite rémunération pour ses photos.

MATTHIEU JUBLIN
PIERRE-YVES MASSOT

24 février 2016

Le point sur l’infirmerie et les changements dans le personnel


La Liberté fait le point sur les petits bobos dont souffrent les joueurs à l’aube des play-offs et cela va plutôt dans un sens positif.

En effet, hormis Jérémie Kamerzin qui soigne toujours sa commotion, les autres devraient être prêt pour le sprint final : comme dit hier, Martin Réway s’est entraîné normalement tout comme Sebastian Schilt et Luca Camperchioli. Le planning de leur retour n’est pas encore fixé mais certains seront ménagés en cette fin de semaine. Ce sera également le cas de Fritsche, Pouliot et Plüss qui ne devraient pas voyager aux Vernets.

Au niveau personnel, la Liberté a également appris que le chef matériel  Stefan Wohlschlager devra quitter le club en fin de saison et sera remplacé par Olivier Sugnaux, ce que dément Dubé (mais çà c'est normal !).

23 février 2016

Poya Cup : 12 mars 2016 Bulle




Une idée de tournoi pour votre équipe dans la magnifique région de la Gruyère avec cette Poya Cup qui aura le lieu le 12 mars prochain et à laquelle vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire.

Celui-ci se jouera à 4 c 4 sans gardien et avec des minis goals sur un tiers de la patinoire (règlement ici). L’inscription comprend notamment 2kg de fondue de la région ce qui devrait vous décider à faire le pas. Toutes les infos sont par ici.

L’efficacité a fait la différence




Les fans de l’équipe fribourgeoise trouveront de quoi se rassasier aujourd’hui dans le quotidien la Liberté avec une analyse complète de la saison régulière, avec des statistiques secteur par secteur.

Assurés de terminer au 6e rang, les Dragons ont redressé la tête après leur ratage de 2015 (9es). Un premier exercice complet réussi pour Zenhäusern.

 Les Dragons sont en play-off: un soulagement. © Charly Rappo















Reway sera prêt pour les play-offs, Pluss, Camperchioli et Schilt sur la glace


De bonnes nouvelles rapportées par Roland Guex suit à l’entraînement matinal.

La Liberté du jour nous donne quelques nouvelles de l’infirmerie des Dragons avec deux surprises puisque Schilt et Réway ont participé à la totalité de l’entraînement d’hier, mais vêtus d’un maillot distinctif.

Pouliot a par contre manqué cette séance, par pure précaution : «Nous ne voulons pas prendre de risque. Il n’y a rien de grave», explique Zenhäusern. Enfin, on devrait en savoir plus ce matin sur la nature des blessures de Plüss et Fritsche .

Ainsi Martin Reway a pu s’entraîner normalement et sera donc apte pour les play-offs, voire les matchs de fin de semaine, alors que Pluss, Camperchioli et Schilt ont eu aussi pu y participer mais avec des maillots distinctifs et donc un retour au jeu tout proche. Fritsche n’a par contre pas participer à la séance du jour.

22 février 2016

Julien Sprunger, le coeur des Dragons




Lever le pied face à Genève pour mieux envoyer Berne en play-out


Assuré d’une place en play-off, Gottéron a l’avantage de pouvoir gérer cette dernière semaine et Zenhäusern dévoile ses plans dans La Liberté.

«Nous allons faire un tournus vendredi contre Genève (Lory et Loichat devraient notamment être alignés selon le journal). En revanche, nous allons jouer le coup à fond samedi contre Berne afin de ne pas fausser l’issue du championnat».

Un ultime match qui sentira la poudre comme le confirme également  Yannick Rathgeb qui s’est fixé un dernier objectif dans ce championnat régulier : «Je veux envoyer Berne en play-out! Juste pour emmener un maximum de confiance en play-off», rigole le jeune espoir du club.

21 février 2016

Gottéron est qualifié pour les play-offs




Dans une patinoire Saint-Léonard comble, les Dragons ont battu Lausanne 3 à 0. Après deux semaines de pause en raison de l'équipe nationale, les hommes de Gerd Zenhausern ont réussi une entame de match parfaite en marquant après 2 minutes par Yannick Rathgeb.

Ils ont ensuite souffert notamment dans le 2ème tiers. En début de dernière période, Marc-Antoine Pouliot a inscrit le 2 à 0 diablement important. Enfin, Julien Sprunger dans la cage vide a marqué le 3 à 0. Avec cette victoire, Gottéron est assuré à 2 journées de la fin de la saison régulière de disputer, contrairement à la saison dernière, les play-offs.

Rien de grave pour Plüss et  Fritsche

A noter que Benjamin Plüss et John Fritsche se sont blessés et n'ont pas terminé la partie.

Benjamin Plüss, touché à un genou suite à un choc avec Ralph Stalder et emmené à l’hôpital dans la foulée lors du match contre le LHC samedi, n'a rien de grave. Les examens médicaux ont été rassurants, selon l'entraîneur Gerd Zenhäusern.

L'attaquant est incertain pour les prochaines rencontres mais il devrait pouvoir faire son retour pour les play-off.

John Fritsche avait également dû quitter ses coéquipier mais il ne souffre que d'une contusion aux côtes.

20 février 2016

Genoway préféré à un Mauldin pas à 100 %




Colby Genoway aura le plaisir d’affronter son ancienne équipe puisque Gerd Zenhäusern l’a préféré à Greg Mauldin comme l’entraînement d’hier le laissait supposer.

Une situation qu’accepte le joueur américain qui n’avait plus été laissé sur le banc alors qu’il est en santé depuis le 4 mars 2014 nous rappelle La Liberté. Le coach fribourgeois doute d’ailleurs que son joueur soit en pleine possession de ses moyens : «Mauldin surnuméraire, c’est parce que nous prenons soin de lui. Nous ne voulons pas prendre de risque avant les play-off.».

Ce que confirme à demi-mot le principal intéressé : «J’ai effectivement reçu une grosse charge à Berne. Je me suis posé une minute pour reprendre mes esprits et j’ai repris ma place. J’ai même marqué un but et j’ai joué le lendemain contre Genève. Je me sens bien. A ce stade de la saison, tout le monde a des bobos. Si un joueur prétend être à 100%, ce n’est pas bon signe…».

Les pastas du dragon




Dès le 20 février 2016 venez découvrir notre nouveau « TRI CAR » avec nos succulentes pâtes

La portion à 10.- CHF


Les pâtes du Dragon (tomates épicées, ail persil)

Les pâtes du Chalet (lardons, oignons, crème, gruyère)


Le tri-car sera en service mobile autour de la patinoire dès 17h30



Bon app

19 février 2016

Picard retrouvera le jeu demain, Andrea Glauser ne jouera plus en ligue B cette saison




Alexandre Picard a reçu le feu vert des médecins nous apprend La Liberté et sera donc aligné demain face à Lausanne, avec donc un duo d’étrangers en défense avec Ellerby puisque  Kamerzin, Schilt et Camperchioli sont out.

Andrea Glauser, rappelé d’Ajoie, sera lui aussi lancé dans le bain confirme Gerd Zenhäusern et ne pourra donc plus évoluer en ligue B cette saison.

18 février 2016

Hockey: la commotion cérébrale, ce fléau


Un des derniers cas en date, le défenseur de Gottéron Jérémie Kamerzin (au centre) a été commotionné avec l'équipe de Suisse lors de la récente Slovakia Cup. [Jan Sukup - EQ]



Cette saison plus que jamais semble-t-il, la commotion cérébrale gangrène le hockey helvétique. Tristan Vauclair, Sandy Jeannin, Didier Massy, Hans Kossmann et le Docteur Maxime Grosclaude décryptent pour nous cette redoutable blessure.

La commotion cérébrale semble devenir l'ennemie publique no1 en hockey. Cette saison, un nombre affolant de joueurs ont pâti de ce fléau de la LNA. Cas le plus grave, Chuck Kobasew se résignera sans doute bientôt à ranger ses patins au CP Berne, à 33 ans. L'attaquant canadien a été touché une fois de trop en octobre, la 4e depuis son arrivée en Suisse, après avoir heurté un arbitre.

Tristan Vauclair, désormais rétabli, fait partie de la dizaine de joueurs de Fribourg-Gottéron victimes en 2015/16 de cette blessure provoquée, suite à un choc, par la collision entre le cerveau et la boîte crânienne. "J'ai reçu un coup sur la mâchoire. J'ai continué à jouer. Mais plus tard, j'ai eu des vertiges et ma vision s'est troublée".

Une prise de conscience

"C'est triste qu'il y ait autant de cas cette année, poursuit l'ailier gauche. Mais au moins, il y a désormais une prise de conscience par rapport à la commotion. Les joueurs se renseignent, ils veulent pouvoir se rappeler du nom de leurs enfants quand ils auront 50 ans", assène le Jurassien de 31 ans.

Sandy Jeannin abonde dans le sens de son ancien coéquipier à St-Léonard.  "Avant, on n'osait pas se plaindre, on serrait les dents et on continuait à jouer. Maintenant, on est plus attentif à cette blessure". L'ex-attaquant international a été contraint de prendre sa retraite au printemps dernier à 39 ans, à cause d'une commotion. "Aujourd'hui, je me sens assez bien, même si ma capacité de concentration a diminué".

De meilleurs staffs médicaux

S'il y a explosion du nombre de commotions, c'est donc aussi car celles-ci sont bien mieux identifiées qu'avant par les staffs médicaux des équipes.

"A mon époque, explique Didier Massy (53 ans), ex-défenseur de Lugano et actuel arbitre en LNA, on n'avait pas le même suivi qu'aujourd'hui. Les charges étaient pourtant tout aussi violentes. J'ai été frappé à la tête, contre la bande, lors du Mondial "B" à Megève en 1991, avec l'équipe nationale. Mais personne ne m'a interdit de rejouer".

"Lorsque je jouais, je n'ai bizarrement jamais été confronté à ce problème. Je n'ai jamais vu non plus de coéquipier se plaindre de maux de tête", raconte pour sa part Hans Kossmann (53 ans).

Vitesse et puissance

Le coach canado-suisse d'Ambri Piotta est d'accord avec tous nos interlocuteurs au moment de nommer les causes principales des commotions: la vitesse et la puissance des joueurs actuels.

"Il y a aussi moins de respect pour l'être humain en ce moment. Ca doit changer", clame Sandy Jeannin. Selon le Neuchâtelois, les arbitres, désormais pros et 4 par match, devraient aussi davantage prendre leurs responsabilités.

"Le problème est le même que pour la police après un accident de la route, rétorque Didier Massy. Quand on arrive après une charge incorrecte, le mal est déjà fait. On n'a pas le pouvoir de prédire l'avenir ni d'arrêter le temps. Ca va trop vite!", dit le Valaisan.

Une mauvaise pub

Tout le monde se rejoint également sur ce constat: les commotions ne contribuent de loin pas à donner une bonne image du hockey sur glace en Suisse.

Cela pourrait, à terme, faire peur à certains au moment d'inscrire leur enfant dans un club. "Autour de moi, beaucoup de parents sont un peu dégoûtés, c'est vrai. Ils ont l'impression que le hockey est une boucherie. C'est vraiment dommage, car ce sport ne m'a fait vivre que de bonnes expériences depuis mon enfance", dit Vauclair.

Massy, lui, tient à calmer le jeu. "Il ne faut pas non plus peindre le diable sur la muraille. Il y a des commotions graves provoquées par des agressions, mais pas mal d'autres sont légères".

Michaël Taillard

"Les casques devraient être faits sur mesure"

Quelles solutions imaginer pour réduire le nombre des commotions en LNA? Le point avec nos quatre interlocuteurs.

TRISTAN VAUCLAIR: 

D'autres clubs pourraient imiter Lausanne (réd: sans oublier Bienne et Zoug) qui a installé des bandes souples. Celles-ci diminuent considérablement les risques.

Un accident, ça peut arriver à tout le monde. Mais il faut punir plus durement les récidivistes, ceux qui écopent de 5-6 matches de suspension par année.

Au niveau du matériel, les visières, à taille unique, ne sont pas adaptées à tous les casques. Et ceux-ci devraient être fabriqués sur mesure. Dans mon cas, ma visière écarte trop mon casque!

Faire de la prévention chez les juniors? Oui, ce serait intéressant. Mais le risque zéro n'existera jamais. Prenez une superstar comme Sidney Crosby: il a aussi eu des commotions...

SANDY JEANNIN: 

Il faut des sanctions plus sévères. Sur la route, on double bien la punition quand vous commettez la même infraction pour la deuxième fois! Ce n'est pas le cas au hockey. Cela passe aussi peut-être par la création d'un comité spécial pour analyser ce type de faute, comme en NHL.

Dans mon travail de coach des novices élites au HC La Chaux-de-Fonds, on apprend aux jeunes à bien encaisser une charge, à bien lever la tête, à anticiper les mouvements de l'adversaire.

DIDIER MASSY: 

L'abolition du hors-jeu des 2 lignes il y a quelques années a accéléré le jeu et rendu les matches plus fluides et plus spectaculaires. Mais cela a en même temps augmenté le risque de collisions. Ce serait dommage de ressusciter cette règle: la Fédération internationale y a pensé. Mais si c'est nécessaire pour améliorer la santé des joueurs, je signe en premier!

On pourrait imaginer aussi de donner des amendes au prorata du salaire. Et punir sévèrement les récidivistes. Mais la Fédération fait déjà un gros boulot, le juge unique sévit durement.

Chez les juniors, on devrait davantage inculquer le respect de l'adversaire, comme on le fait en rugby.

HANS KOSSMANN: 

Punir les récidivistes est sûrement une bonne chose. Mais alors il faudrait faire attention à définir correctement ce terme. Un joueur qui inflige deux commotions à 7 ans d'intervalle est-il un récidiviste? Ce cas est arrivé à Julien Sprunger à Gottéron, et ça ne fait pas de lui un hockeyeur méchant pour autant...

Au Canada, à l'entraînement, on donne des maillots portant le mot "STOP" dans le dos aux jeunes, pour les sensibiliser aux charges par derrière. Ce système fait débat et crée beaucoup de tensions. Mais de toute façon, on ne pourra jamais éliminer les mises en échec, elles font partie du jeu, tout comme les commotions cérébrales. C'est un risque lié à notre sport...
Docteur Grosclaude: "il ne faut pas être trop alarmiste"

Médecin du sport à l'hôpital de La Tour à Meyrin (GE), Maxime Grosclaude soigne les skieuses de l'équipe de Suisse et les hockeyeurs de GE-Servette II (1L). Il est lui-même gardien amateur.

La situation est-elle vraiment préoccupante au niveau des commotions?

MAXIME GROSCLAUDE: 

C'est un sujet à la mode, dont tout le monde parle beaucoup. Du coup, on a l'impression qu'il y a de plus en plus de commotions. Mais en réalité, une étude nord-américaine démontre que, là-bas, les chiffres restent relativement stables. On possède surtout de meilleurs outils qu'avant pour diagnostiquer ces blessures, ce qui gonfle les chiffres par rapport à il y a 20 ou 30 ans en arrière.

Il faut aussi dire que l'augmentation de la sévérité de l'arbitrage depuis 2005 implique davantage de pénalités. Et qui dit davantage de situations spéciales, dit moins de contacts. De plus, avant 2002, les charges à la tête n'étaient pas systématiquement sanctionnées. Il ne faut donc pas être trop alarmiste.

Comment s'y prend-on pour déceler une commotion lors d'un match?

MAXIME GROSCLAUDE: 

Les staffs médicaux soumettent le joueur à un questionnaire. En fonction de ce dernier, on arrive à déterminer si l'athlète est apte à rejouer, ou pas. Dans 80 à 90% des cas, le sportif récupère totalement de sa commotion dans les 7 jours.

Si rapidement?

MAXIME GROSCLAUDE: 

Oui. Par contre, on demande au joueur de rester chez lui et on lui interdit toute stimulation cérébrale durant ce laps de temps (lecture, musique, écran). En gros, il ne peut rien faire... Il est aussi surveillé durant toute cette période avec des examens médicaux répétés, toutes les 24h si nécessaire. Parfois, un bilan neuropsychologique est demandé.

En revanche, subir des commotions à répétition peut s'avérer grave. On n'est pas encore très bien informé sur les dégâts cérébraux que cela provoque sur le long terme, comme par exemple des troubles de la mémoire. On sait qu'après avoir eu de nombreuses commotions durant leur carrière, certains anciens boxeurs sont atteints de ce que l'on appelle la "démence pugilistique".

La commotion est-elle la blessure la plus fréquente en hockey?

MAXIME GROSCLAUDE: 

Non. Toujours selon la même étude, la commotion cérébrale constitue le 22% du total des blessures. Les blessures aux genoux sont les plus nombreuses, suivies par celles à la tête, puis aux épaules. La catégorie des 12-14 ans est la plus à risque, en raison de la différence de taille et de la maturation du squelette entre les joueurs.

On a aussi calculé le risque qu'un hockeyeur a de subir une commotion, en moyenne: on en compte 1,58 pour 1000 entraînements/matches.

Pour terminer, quels sont les symptômes d'une commotion?

MAXIME GROSCLAUDE: 

Il y en a beaucoup! Le plus fréquemment: les vertiges, les troubles de la vision, la sensation d'être au ralenti, la fatigue, les pertes de mémoire et la difficulté à se concentrer. Il y a aussi, notamment, la sensibilité extrême au bruit et à la lumière. On voit que ces symptômes couvrent un champ assez vaste...

17 février 2016

Fin de saison pour Martin Réway, rien de grave pour Mottet



Les nouvelles ne sont vraiment pas bonnes pour le jeune espoir de Fribourg dont on doute de le revoir sur la glace cette saison.

En effet, victime d’une commotion le 23 janvier, Martin Réway n’a pas été en mesure de reprendre l’entraînement en gymnase : « Il a repris l’entraînement hors glace mais cela ne s’est pas bien passé » explique Dubé à La Liberté. Le timing pour un retour devient donc de plus en plus exigu et on imagine mal le club prendre le moindre risque avec sa pépite.

Concernant Kamerzin qui souffre d’une commotion,  « La durée de son absence est indéterminée. Il doit prendre quelques jours de repos avant de subir les premiers tests.» Camperchioli (épaule) reprendra l’entraînement la semaine prochaine alors que Schilt pourrait faire son retour samedi. La blessure de Mottet (épaule) est musculaire et il devrait recommencer à patiner jeudi avec l’équipe.

Une situation financière qui reste compliquée pour Gottéron





Même en cas de participation et de bon parcours en séries, il sera difficile à Fribourg de terminer la présente saison dans le chiffres noirs avec une perte à ce jour entre 300’000 et 450’000 francs.

Ainsi l’a expliqué hier Michel Volet à La Liberté en mettant en avant l’affluence en baisse  (6126 spectateurs en moyenne contre 6261 la saison dernière) partiellement compensée par l’augmentation du nombre de places assises. Cela représente aussi un manque à gagner de 10’000 aux buvettes. « L’augmentation des taux d’assurances (20 à 23% de la masse salariale) ou un contrôle TVA sur les dix dernières années ont également eu des conséquences importantes » précise le Président qui prie donc pour un bon parcours en playoffs.

Pour ce qui est de la saison prochaine, les charges des salaires de René Matte, Birbaum et Monnet n’en seront plus et deux nouveaux étrangers viendront épauler Mauldin et Pouliot : «Deux postes sont disponibles pour des étrangers. Je discute actuellement de stratégie avec Gerd Zenhäusern, l’entraîneur afin de déterminer si nous nous lançons avec un défenseur et trois attaquants ou quatre attaquants étrangers. Nous allons probablement décider à la fin des play-off » a expliqué Dubé à Patricia Morand.

Dans l'antre du Dragon #2



Egger Ph.

16 février 2016

Picard confiant de pouvoir jouer samedi




Le défenseur fribourgeois s’est exprimé auprès de La Liberté après son premier entraînement complet depuis début janvier.

«Cela s’est bien passé. Il faut maintenant attendre pour savoir comment mon genou tient le choc. Il y a des petits mouvements dans lesquels j’aimerais être plus à l’aise. Je dois écouter mon corps. Mais je suis aussi conscient que la situation est critique au niveau des blessés. Mon objectif est de jouer samedi, je suis confiant. Cela devrait aller…».

Concernant Killian Mottet, selon le résultat des examens qui seront effectués aujourd’hui, il pourrait également tenir sa place samedi.

Fin du partenariat entre Gottéron et Martigny Red Ice




Le partenariat entre Fribourg-Gottéron et Martigny ne sera pas prolongé. Il prendra fin au terme de la présente saison. Le 18 mai dernier, Les deux clubs avaient signé une entente pour une saison dans le but d'offrir des opportunités d'évolution en ligue B à des juniors élites A et de favoriser la transition entre le niveau de la formation et dus port professionnel.

Selon F. Stettler, finalement Martigny n'a pas souhaité poursuivre l'aventure. Fribourg-Gottéron est à la recherche d'une nouvelle solution pour la saison prochaine.

15 février 2016

Mottet lui aussi blessé, fin de saison pour Kamerzin ?




Après Jérémie Kamerzin c’est au tour de Killian Mottet d’être tombé au combat ce week-end avec une blessure à l’épaule. La durée de son indisponibilité n’est pas encore connue, alors que la saison de Jérémie Kamerzin pourrait elle être terminée.

Glauser et Picard en dépanneurs

Gerd Zenhäusern confirme dans les colonnes de La Liberté que Kamerzin souffre bien d’une nouvelle commotion, sa seconde de la saison après les 14 matches manqués suite à la charge de Daniel Rubin.

Le coach fribourgeois n’a donc plus que cinq défenseurs valides et a rappelé Andrea Glauser qui vient de reprendre la compétition. Une autre option pourrait être le retour anticipé d’Alexandre Picard : «Il va être intégré à l’entraînement dès lundi.

Nous serons rapidement fixés. Après la séance de mardi, nous déciderons s’il est apte à jouer le match du week-end ou s’il doit encore patienter» conclut Zenhäusern.

14 février 2016

Une possible nouvelle commotion cérébrale pour Jérémie Kamerzin




Victime d’une lourde charge lors du match face à la Slovaquie, Jérémie Kamerzin pourrait souffrir d’une nouvelle commotion cérébrale selon la ligue. Des examens plus poussés confirmeront ou non ce premier diagnostic.

13 février 2016

Bykov et Khomutov avaient débarqué à Fribourg grâce à Jean Tinguely




Intéressante anecdote relatée par La Liberté qui consacre un dossier aux 25 ans de la disparition de Jean Tinguely.

L’artiste fribourgeois est en effet l’un des grands artisans de la venue de Slava Bykov et Andrei Khomutov à Gottéron grâce à un chèque de 100’000 francs qui a permis de payer en partie leur transfert, le solde étant couvert par des dessins pour une assurance qui ont rapporté 30’000 francs.

12 février 2016

Vauclair en discussion avec un club romand et un autre alémanique


L’avenir du Jurassien est encore flou confie-t-il à TicinoOnline mais se cantonne toujours à trois clubs, dont un Romand et un Alémanique, ainsi que Fribourg qui ne semble pas être en tête de liste. Interview à lire ici.

Camperchioli fera ses valises


La signature d’Andrea Glauser pousse Luca Camperchioli vers la sortie alors qu’il ne se verra pas offrir de nouveau contrat.

Glauser débutera sans doute la saison prochaine en ligue B alors que Fribourg a neuf défenseurs suisses sous contrat. Côté santé, l’international M20 arrive au terme de sa commotion et son retour au jeu est imminent.

Réway vient de reprendre l’entraînement physique hors glace sans planning de retour précis, tout comme pour Schilt, dont il est impossible de donner une date de retour selon Dubé.

Le défenseur de 25 ans s'est engagé pour 2 saisons avec Viège en ligue nationale B. Arrivé de Davos l'été dernier, il a disputé 20 matchs sous le maillot des Dragons, sans toutefois se faire l'auteur du moindre point.

10 février 2016

Vidéo à 360° de la Postfinance Arena lors du match face à Fribourg



Egger Ph.

Glauser signe un contrat de deux ans




Le jeune défenseur Andrea Glauser (03.04.1996), issu du mouvement juniors de Fribourg-Gottéron, a signé un contrat de deux ans, soit pour les saisons 2016/17 et 2017/18.

Andrea Glauser (180cm / 73kg) évolue actuellement avec les juniors Elite de Fribourg-Gottéron. Durant la saison, il a déjà disputé 16 matchs avec la première équipe en LNA et 2 matchs avec le HC Ajoie en LNB. En décembre il a été convoqué en équipe nationale de Suisse M20 pour le dernier championnat du monde en Finlande.

8 février 2016

Commotion légère pour Schilt, plus sérieuse pour Réway




On se méfiera toujours des diagnostics avec ce mal pernicieux, mais selon Gerd Zenhäusern, Sebastian Schilt souffre d’une commotion légère et espère qu’il sera de retour après la pause de la ligue nationale explique-t-il dans La Liberté.

Un cas plus sérieux; Martin Réway n’est pas près de reprendre la compétition selon le coach fribourgeois.

5 février 2016

Camperchioli sur la liste des blessés



Fribourg et Red Ice devront faire sans Luca Camperchioli pour une période indéterminée, le défenseur italo-suisse s’étant blessé à l’épaule lors du match de mardi avec Martigny annonce La Liberté.

Genoway : «J’ai choisi la meilleure offre»


Genoway à l'entraînement avec Gottéron © Vincent Murith/La Liberté


L’attaquant canadien revient dans les colonnes de La Liberté sur le choix d’un retour en Suisse après avoir discuté en famille de la meilleure destination pour poursuivre sa fin de saison.

Le nouveau numéro 5 des Dragons a disputé son dernier match avec Medvescak Zagreb dimanche : «Nous avons raté le train des play-off. J’avais plusieurs opportunités de poursuivre ma saison ailleurs. J’ai discuté avec ma famille qui est toujours à Zagreb et qui va me rejoindre. Nous avons considéré l’offre fribourgeoise comme étant la meilleure».

L’occasion d’y retrouver des visages familier comme Zenhäusern, son coach à Lausanne et Neuenschwander qui lui a présenté la maison. L’entraineur fribourgeois a d’ailleurs d’ores et déjà décidé de l’aligner en power-play à la place de Mottet :  «Son jeu est assez simple, mais efficace. Il est très réfléchi sur la glace. Pouvant être utilisé dans plusieurs positions, Genoway est précieux» précise Zenhäusern.

Genoway laisse par contre planer le doute sur la saison prochaine alors qu’il aurait encore un contrat valable avec le club de Zagreb mais voit sans doute avec Gottéron une opportunité de retrouver le championnat suisse à plus long terme.

Le feu est au vert pour Colby Genoway qui défendra les couleurs de Fribourg pour la première fois ce soir à Berne, au centre de Neukom et Neueunschwander selon Frank Stettler. Il a participé à son premier entraînement hier matin.

4 février 2016

Vauclair est apte au jeu et discute d’un nouveau contrat




Bonne nouvelle pour Tristan Vauclair qui a pu s’entraîner normalement hier selon La Liberté et devrait pouvoir tenir sa place pour les matchs de fin de semaine si le coach décide de leur relancer dans le bain.

Au niveau contrat, les choses ont un peu évolué depuis la fin de l’année passée (lire ici) puisque les discussions ont maintenant débuté avec Fribourg et deux autres clubs de LNA : «Il y a eu un premier contact avec Gottéron. J’attends de connaître les plans du club au sujet des étrangers» déclare-t-il au quotidien fribourgeois.

Colby Genoway rejoindra son nouveau club aujourd’hui et devrait pouvoir être aligné dès vendredi alors que Martin Réway patine de son côté mais n’est pas près d’un retour.

Votre joueur préféré bientôt dans votre salon



Egger Ph.

3 février 2016

Genoway a refusé d’autres offres pour venir à Fribourg




Le staff fribourgeois revient sur l’engagement hier de l’attaquant canadien qui portera les couleurs de Gottéron pour la fin de saison uniquement.

En effet, quoiqu’il arrive Genoway retrouvera son club de Zagreb la saison prochaine avec qui il est encore sous contrat. Si Dubé ne se montre guère volubile sur ce choix de transfert, ce contentant de préciser qu’il a refusé d’autres offres pour venir à Fribourg, il précise néanmoins : «Genoway est un leader, doté d’un bon jeu physique. Il est capable de jouer dans les deux sens de la patinoire. Il peut tout faire. J’ai discuté avec lui après avoir conclu un accord avec son agent. Je n’avais pas besoin de lui parler pour me convaincre. Je le connaissais déjà pour avoir joué contre lui.».

Zenhäusern abonde dans le même sens en rajoutant «J’envisage de l’aligner au centre. Il est très intelligent et responsable, capable d’évoluer dans toutes les situations, également à 5 contre 4 ou 4 contre 5. J’ai toujours bien aimé ce joueur qui a réussi une bonne saison en KHL. J’apprécie son caractère, sa façon de jouer. Je suis persuadé qu’il va bien s’intégrer.».

Le HC Fribourg-Gottéron SA conclut un partenariat avec Estavayer2016




La prochaine Fête fédérale de lutte suisse – Estavayer2016 – devient l’un des partenaires de l’équipe fribourgeoise de hockey sur glace, le HC Fribourg-Gottéron SA. Ce partenariat se traduit par la présence d’Estavayer2016 à l’intérieur et à l’extérieur de la BCF Arena. Fribourg-Gottéron sera quant à lui présent sur la place de fête de la prochaine « Fédérale », en août 2016. Afin de marquer cette alliance, l’équipe d’Estavayer2016 sera présente le samedi 6 février, lors de la rencontre entre Fribourg-Gottéron et Genève–Servette : un derby romand qui s’annonce riche en émotions !

C’est officiel : Estavayer2016, la prochaine Fête fédérale de lutte suisse et des jeux alpestres, devient l’un des partenaires du HC Fribourg–Gottéron SA. Désormais, l’événement sportif phare, festif et national de cette année bénéficiera de visibilité à l’intérieur et à l’extérieur de la patinoire fribourgeoise. De son côté, Fribourg-Gottéron sera présent lors du week-end du 26 au 28 août 2016 selon des modalités à définir. Au cœur de la place de fête, la zone du Public Viewing, permettant à environ 6 000 visiteurs de suivre en direct et gratuitement les combats de lutte, accueillera entre autre des Bosseurs de la famille de Fribourg-Gottéron.

Considérée comme la plus importante fête populaire et sportive de Suisse en termes d’affluence – environ 250 000 visiteurs participent à chaque édition – la Fête fédérale de lutte suisse et des jeux alpestres a lieu tous les 3 ans en Suisse et tous les 15 ans en Romandie. Après Nyon en 2001, c’est au tour de la Broye, région nourrie des spécificités de deux Cantons – Vaud et Fribourg – d’accueillir les festivités. Ces dernières auront lieu dans les villes d’Estavayer-le-Lac et essentiellement de Payerne pour la majeure partie de la manifestation.

La Romandie à l’honneur en 2016

Le 6 février prochain, Fribourg–Gottéron affrontera le Genève-Servette HC. Dans le cadre de ce tout nouveau partenariat, l’équipe d’Estavayer2016 sera présente lors de cette soirée. Il s’agira du point de départ de l’aventure que vont partager les dragons et les lutteurs. Cette rencontre constitue non seulement une opportunité pour la « Fédérale » de promouvoir sa manifestation dans un cadre sportif et romand, mais également de rassembler les amoureux du sport autour de valeurs communes que ces derniers partagent : la passion et les émotions. 3 ans après la « Fédérale » de Berthoud dans l’Emmental bernois, Estavayer2016 compte bien donner son caractère latin à cette fête exceptionnelle et mettre ainsi toute la Romandie à l’honneur.

Un partenariat dynamique

Dans les prochains jours, le HC Fribourg–Gottéron SA lancera auprès de ses abonnés et aux membres de la famille de Fribourg-Gottéron une action dans le but de recruter de nouveaux Bosseurs pour la « Fédérale ». Pour chaque heure investie, en tant que Bosseur, par un membre de la famille de Fribourg-Gottéron, la «  Fédérale » versera une contribution directement au Mouvement junior du club fribourgeois. Actuellement, 2000 volontaires se sont manifestés pour servir la fête. Il faudra encore doubler ce chiffre d’ici le mois de juin. Pour rejoindre la grande famille des Bosseurs,  il faut impérativement s’inscrire par groupe de minimum dix personnes : les clubs sportifs et culturels, les sociétés, les amicales, les jeunesses, les associations et même les groupes d’amis sont les bienvenus ! Les Bosseurs doivent également avoir 18 ans révolus, être en bonne santé, avoir de l’endurance et aimer travailler en groupe.

2 février 2016

Colby Genoway est le nouvel et dernier étranger




Christian Dubé a porté son choix sur l’ancien joueur lausannois pour compléter son quatuor d’étrangers selon ce que rapporte Greg Beaud. Il portait les couleurs du Medvescak Zagreb cette saison qui ne s’est pas qualifié pour les playoffs de KHL.